La mère de José se fait insulté par sa voisine Livia, son beau-frère qui a couché avec Livia passe ses nuits dans son camion. L’anniversaire des lusitaniens se termine à 22h30, José s’échappe le premier, la caméra l’atteste. A 23h ils montent une expédition à trois masqués: punir Livia avec une batte. Livia leur ouvre, reconnait José en même temps reçoit une volée sur la tête : «Espèce de P.., tu ne parleras plus comme ça à ma mère. Si la police arrive, tu n’as pas intérêt à parler, sinon je te tue ». Branle-bas dans les escaliers… les voisins interviennent, José s’enfuit. La mère de Livia tel à la mère de José, qui avertit son fils, qui tel à son beau-frère. Quand La police toque chez la mère de José ce n’est qu’un brusque : «Ce n’est pas José !» dans l’immeuble tous connaissent son caractère, son ancienne liaison avec Livia. L’ADN sur la batte ne parle pas, les téléphones bornent aux heures précises. A l’audience José nie en bloc « je n’étais pas au courant des histoires de famille. En plus on m’empêche d’aller voir les cousins au Portugal. » Livia soigne la perte de son audition et son traumatisme crânien. La communauté portugaise garde le silence.